mardi 11 octobre 2011


slideburner permet de transmettre vos présentations powerpoint sans que vos
 
Slideburner permet de transmettre vos présentations Powerpoint sans que vos interlocuteurs puissent les modifier. © Slideshare / JDN
 

Vous connaissez sans doute Slideshare, véritable Youtube de la présentation en ligne et site grâce auquel vous pouvez partager vos plus belles présentations Powerpoint avec vos prospects, vos clients ou même les membres de votre équipe.
Le site a récemment lancé un service de conférence Web qui porte le nom de Zipcast. En quelques clics, ce service vous permet d'organiser une présentation Web qui peut accueillir un nombre illimité de participantsdans une salle de conférence virtuelle.
Site : Slideshare
Accès : gratuit
Langue : anglais


Source : Journal du net

mercredi 7 septembre 2011

Qu'est ce qu'un bon prof ?



  • Sa pédagogie«Ce qui fait la différence entre un professeur et un autre, ce n’est pas tant le grade qu’il a obtenu que ses pratiques, son expériencela façon dont il sait prendre la classe»
  Marie Duru-Bellatsociologue de l’éducation.
  • Sa bienveillance. «Il est bienveillant et équitable. Il inculque autant des savoirs que des méthodes de travail, pour permettre aux élèves plus fragiles de devenir autonomes.»
            Philippe Meirieupédagogue.
  • Sa capacité d’adaptation«Le bon pédagogue sait adapter ses pratiques à son publicIl sait qu’avec les élèves aisés on est plus efficace en étant un peu raide. Alors qu’avec les élèves de milieux populaires il faut être chaleureux pour leur donner confiance».
      Marie Duru-Bellat sociologue de l’éducation.
  • Sa puissance de motivation. «On est un bon prof si on est heureux dans son métier» et que faut-il pour éprouver un tel contentement? D’abord et avant toutdes élèves qu’on parvient à motiver, c’est le cœur du métieret bien sûr un bon climat dans l’établissement; du travail en équipe; une direction qui vous épaule et des projets porteurs.»
     Claudine Ouhiounprofesseur d’anglais à Paris.
  • Ses stratégies pour réussir la relation humaine. «Je marche dans la salle de classe, alterne les explications et les questions. Quand un élève prend la parole, il participe, c’est bienJ’ai le souci d’entendre les silencieux, les absents momentanés, les échappés chroniques. J’essaie de les valoriserIl faut gérer l’hétérogénéité, arriver à faire avancer tout le monde. L’enseignement est un métier physique. Il faut de la présence. Une heure de cours pompe beaucoup d’énergie. On est bon quand on est dans un état d’ouverture et de disponibilité. Si on est vide à l’intérieur, on ne peut pas échanger.»
 Fabienne Veyrièsprofesseur de lettres au lycée Michelet de Montauban.
  • Son ouverture à construire l’élève«Le but n’est pas que le professeur « fasse le programme », mais que l’élève y parvienne. C’est le jeune qui joue la pièce, c’est lui qu’on applaudit. Ça demande intelligence, talent et maîtrise. Le prof n’est pas un comédienIl doit savoir trouver la bonne distance par rapport à l’élève ni trop loin ni trop près, comme le bon médecin…»
  • Sa disponibilité au travail d’équipe. «Je passe mes soirées en ligne, à préparer mes cours.J’échange des méthodes avec des instituteurs du monde entier, grâce à des listes de diffusion.»
Ben Aïdaprofesseur des écoles.
  • Son engagement profond dans sa communauté«Engagé totalement dans l’animation du lycée, au point d’épuiser parfois ses collègues - «Jeannaux? Il est tuant», plaisante le proviseur -, il s’investit également dans la vie de sa banlieue. Son énergie? Il suppose, pudiquement, qu’elle lui vient de son jardin secret, dont même ceux qui le connaissent bien au lycée ignoraient l’existence, ou la force: sa profonde foi religieuse.«C’est sans doute cela qui me donne cette envie de rencontrer les autres
 Alain Jeannauxprofesseur de physique au lycée Charlie-Chaplin.
  • Sa passion pour le domaine dans lequel il évolue. «On sent qu’il aime sa matière et qu’il fait tout pour nous la faire aimer… à la différence d’autres profs, glisse l’un d’eux [les élèves].»
 Alain Jeannauxprofesseur de physique au lycée Charlie-Chaplin.
  • Sa rigueur et sa constance«René marque à la culotte. Il demande de l’attention, du travail, de l’écouteIl veut de la dynamique autour de luiPas toujours évident. Affaire de discipline? Pas seulement. Il en faut, mais il ne faut pas que le jeune ait peur. Il faut trouver le juste milieu.»
René Caraccioloprofesseur d’électricité au lycée Eugène-Montel.

dimanche 10 juillet 2011

Facebook vs Google : Une guerre en 4 étapes

INTERNET - Les deux géants du Web ne cessent de se rendre coup pour coup dans la bataille qu'il se livre, à distance ou frontalement, pour gagner l'avantage sur le terrain du social...


Lorsque Mark Zuckerberg a créé Facebook en 2004 dans les couloirs de l’université d’Harvard, Google était alors en telle situation d’hégémonie qu’il concentrait à lui seul 84,7% de toutes les recherches sur le web de la planète. Sept ans plus tard, le réseau social est devenu un rival de poids qui a investi sur un terrain oublié par Google. Et que le moteur de recherche compte bien reconquérir.
Retour sur une guerre en 4 étapes...


Acte 1: La guerre des talents


En 2010, Facebook n’en finit plus de croître et atteint 500 millions d’utilisateurs dans le monde en juillet. Il est temps de passer à l’étape d’après, soit consolider sa position de nouveau leader des réseaux sociaux et plancher sur de nouveaux développements. Pour cela, Mark Zuckerberg va directement puiser dans le vivier de talents de Google. En octobre de la même année, le Wall Street Journal chiffre à 10 le pourcentage des effectifs de Facebook débauchés de chez Google et d’autres entreprises de la Silicon Valley
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/11/11/google-facebook-la-guerre-des-talents-est-declaree_1438853_651865.html.

Acte 2: La guerre des idées

Depuis plusieurs mois, Google et Facebook chassent sur le terrain du voisin. Google a lancé les hostilités en présentant Google Wave, en mai 2009, un outil censé révolutionner le chat et l’email http://www.20minutes.fr/article/329083/High-Tech-Google-Wave-la-vague-qui-pourrait-tout-emporter.php.
Las, un an plus tard, Google arrête son service http://www.20minutes.fr/article/587431/web-google-met-un-terme-a-google-wave.
Le moteur de recherche n’en a toutefois pas fini avec le social et présente Google Buzz en février 2010 http://www.20minutes.fr/article/383462/High-Tech-Google-Buzz-veut-mettre-de-l-ordre-dans-le-bruit-social.php, au succès plus que confidentiel. Un flop plus tard, avec notamment une belle gaffe sur la vie privée, Google «a réalisé que Buzz n'était pas suffisant et qu'ils avaient besoin de construire un réseau de première classe complet. Ils le bâtissent sur le modèle de Facebook. A la différence des précédentes tentatives, c'est un projet de la plus haute importance», confirmait en juin 2010 Adams D’Angelo http://www.20minutes.fr/article/581733/Web-Rumeur-sur-Google-Me-un-ancien-de-Facebook-confirme.php, un ancien de Facebook qui a lancé son propre réseau Quora.


La dernière arme de la firme s’appelle Google + un réseau social dévoilé la semaine dernière. En riposte, Mark Zuckerberg a officialisé mercredi un accord avec Skype pour proposer sur Facebook un service de visiophonie. Et a profité de son succès sur Google + (il est actuellement la personne qui compte le plus de followers) pour regarder ce qui s’y faisait et s’en inspirer un peu… en lançant une application singeant presque parfaitement la gestion de contacts de Google: les cercles.

Acte 3: La guerre des données


Mais le nerf de la guerre reste l’utilisateur. Google et Facebook se livrent une lutte acharnée pour conserver leurs contacts.

Quitte à mettre des bâtons dans les roues de son concurrent en l’empêchant d’y avoir accès. C’est ainsi que Facebook a bloqué mardi un outil permettant d'exporter le nom et l'adresse email de ses contacts personnels. Un utilisateur ne peut ainsi pas récupérer sur Gmail ses contacts Facebook pour les ajouter à son carnet d’adresses.
En représailles, Google a bloqué la possibilité pour Facebook d’avoir accès aux contacts Gmail. Avec un message bien senti à l’attention de ses utilisateurs qui essayent d’importer leurs contacts Gmail vers Facebook: «Attendez un instant. Êtes-vous bien certain que vous voulez importer l’information de vos contacts dans un service qui ne vous laissera pas les sortir?»


Acte 4: La main tendue ?

Dernier rebondissement en date, la sortie d’Eric Schmidt en forme de main tendue vers Facebook. Le directeur de Google s’est dit ce vendredi convaincu qu'il y a de la place pour plusieurs réseaux sociaux et laisse la porte ouverte a plus de coopération avec les géants du social Facebook et Twitter. Pas sûr que Facebook, qui pèse 750 millions d’utilisateurs, acceptent de s’aligner.
Ou alors à ses conditions...




Source 20 minutes

mardi 28 juin 2011

L’interaction et la « Gamification » en support pédagogique

La Présentation ci dessous présente la démarche d’un professeur aux USA qui à trouvé un moyen super simple pour inciter ses élèves à travailler.

En effet autant les élèves prennent des notes lors des cours, autant ils ne révisent qu’à la dernière minute…

Or pour bien assimiler un cours il est nécessaire de relire ses notes….


L’objectif du professeur était simple :

- Inciter les élèves à réfléchir à ce qu’ils ont appris juste après le cours.

- Les refaire penser à son cours en fin de journée

- Repasser une couche sur la leçon du jour le soir avant d’aller se coucher


Pour cela sa méthode est simple :

- Envoyer un SMS aux élèves juste après le cours pour leur demander de synthétiser ce qu’ils ont appris en 5 mots avec un retour par SMS.

- Envoyer un SMS en fin de journée en demandant de voter pour les 5 meilleures synthèses proposées.

- Envoyer un SMS le soir pour indiquer quel élève avait remporté le vote. 


Le but était de rendre plus « fun » la réflexion sur le cours (comme un jeu, c’est à dire faire de la Gamification), car les gens en général sont fainéants et sont réfractaires à ce qui leur prend du temps, de la réflexion ou de l’effort de manière plus générale.

De plus avec le vote et la valorisation de la meilleure synthèse, l’aspect compétition et créativité est exacerbé, ce qui incite les élèves à être créatifs et à réfléchir sur le contenu du cours.

Enfin, pour le prof cela permet de voir comment les élèves ont compris le cours et l’ont assimilé.

mardi 26 avril 2011

15 formations pour booster son salaire

Véritable accélérateur de carrière, uneformation reste souvent le moyen le plus rapide d'accroitre ses responsabilités et sarémunération.
Chaque salarié a le droit à 20 heures de formations par an au titre du droit individuel à la formation (Dif). Des programmes plus longs permettent aussi d'approfondir certainesconnaissances et d'acquérir de nouveauxsavoir-faire
Utilisées intelligemment et en accord avec sonemployeur, ses formations peuvent s'avérer extrêmement précieuses en vue d'améliorer sonemployabilité. Aperçu de 15 domaines de compétences pour lesquels se former constitue un pari intéressant sur l'avenir.

Apprendre la langue d'un des pays émergents
L'Inde, la Chine et le Brésil représentent plus de 40 % de la population mondiale. Au cours de ces dernières années, ces pays dits émergents se sont peu à peu élevés au rang de puissances exportatrices mais aussi de véritables bassins de consommation. Les entreprises françaises ont bien compris le potentiel de ces nations et multiplient les échanges commerciaux avec elles.
Dans cette optique, les profils maitrisant le chinois, l'hindi ou le portugais vont indéniablement devenir très prisés, d'autant plus qu'ils restent rares à ce jour. Vous former dès à présent à l'une de ses langues constituent un pari sur l'avenir et sur le succès de votre carrière.

Suivre un MBA dans son domaine de compétence
Se reconvertir ou grimper dans la hiérarchie, les raisons pour suivre un MBA sont légions. Même si l'investissement est conséquent, le jeu en vaut souvent la chandelle. S'il est bien sûr important de mûrir son projet et de s'assurer du soutien de sa hiérarchie avant de se lancer, le MBA constitue souvent un excellent tremplin à une carrière et permet d'augmenter considérablement sa rémunération, la fourchette moyenne se situant entre +50 % et +100 %.
Finance, marketing ou ressources humaines sont autant de filières pour lesquelles les MBA sont nombreux et constituent un véritable booster. Attention toutefois car l'investissement est aussi conséquent en termes de temps. Suivre un MBA implique des sacrifices, cela peut conduire à mettre son job entre parenthèses voire à sacrifier momentanément sa vie personnelle.

Se former à la responsabilité sociétale des entreprises
Surfant sur la vague du Grenelle, les métiers en lien avec l'environnement sont en plein boom depuis quelques années, comme en témoigne l'essor du métier de responsable du développement durable. Dans la mesure où les formations initiales en la matière sont encore rares, cette fonction à responsabilité est bien souvent occupée par des collaborateurs ayant appris sur le tas ou ayant suivi une formation continue.
C'est une orientation intéressante que vous pouvez donner à votre carrière en vous formant à une telle spécialité. Vous pourrez aussi prétendre à des rémunérations assez fortes car  l'offre reste pour l'instant inférieure à la demande.

Apprendre à manager la diversité
L'allongement de la durée du travail ou la globalisation effrénée du marché du travail sont autant de facteurs qui vont rendre le monde de l'entreprise extrêmement hétérogène. La fonction de responsable de la diversité s'est développée avec l'essor des contraintes légales et des préoccupations sociales qui entourent les thèmes de la diversité et de l'égalité des chances. Mais tous les managers se trouvent en situation de devoir gérer des collaborateurs aux profils variés.

Depuis la problématiques des seniors à l'origine sociale ou géographique des salariés, les entreprises ont intérêt à mettre en place des actions spécifiques destinées à rendre l'accès à l'emploi équitable. Savoir jongler entre les préoccupations de chacun et satisfaire les exigences du plus grand nombre est quelque chose qui s'apprend. Vous ne devez pas hésiter à vous former à l'art du management de la diversité pour prétendre aux responsabilités.

Prendre le virage de l'Internet
Référencement, e-commerce ou web analytics sont autant de domaines de compétences qui prennent progressivement de l'ampleur au sein des entreprises. Les sites internet des entreprises sont en effet devenus des vitrines majeures et sont à ce titre un outil qu'elles ne peuvent plus négliger.
Dans cette optique, se former aux nouveaux outils du e-business peut constituer un choix payant. Un cadre marketing généraliste a ainsi tout intérêt à s'intéresser au web marketing. Fort de cette connaissance, il améliore son employabilité. Il est aussi susceptible de contribuer au développement d'un département web marketing au sein de son entreprise et ainsi monter dans l'échelle de la hiérarchie.

Se former à la gestion des risques opérationnels
Les risques sont partie prenante de la vie d'une entreprise. Dans un monde en perpétuelle évolution, celles-ci se doivent d'anticiper les nouvelles tendances et tout mettre en œuvre pour se prémunir contre les dangers potentiels.Elaborer des structures de gestion du risque ou réussir la création d'une cellule d'urgence sont donc autant de compétences de plus en plus prisées. Des préoccupations susceptibles de concerner de nombreuses fonctions, à tous les étages de l'entreprise.
Des formations existent qui vous aideront à maîtriser les divers paramètres et composantes du risque opérationnel et feront de vous un manager capable d'agir dans l'urgence et réagir aux situations critiques avec sang froid et raison. Des qualités qui sont l'apanage des plus hauts potentiels.

Allier management et connaissances scientifiques
Compte tenu des tendances dans les biotechnologies, mais également de la volonté des grands laboratoires d'exploiter au mieux leur portefeuille, la fonction de business developper est en vogue. Les profils ingénieurs en biochimie par exemple ont tout intérêt à se former dès à présent aux compétences transverses telles que le management et la communication.

En ajoutant à leurs connaissances techniques des compétences managériales, ils améliorent leur employabilité et justifient des prétentions salariales plus élevées. Les doubles compétences seront en effet de plus en plus prisées.

Mettre un pied dans l'éco-construction
Si l'avènement des préoccupations environnementales a permis une prise de responsabilité des entreprises en la matière, avec le développement de la RSE, il a aussi contribué à populariser l'éco-construction. L'explosion récente du marché a entrainé une raréfaction de profils disponibles et compétents.Il peut donc être intéressant, pour les professionnels du BTP de s'adapter, se renseigner et surtout se former sur les nouveaux produits en rapport avec l'éco-construction.
Outre l'aspect technique, il y a tout un volet juridique qui doit être appréhendé afin que vous soyez au courant des normes qui se mettent en place progressivement.

Découvrir les outils pour lancer son entreprise
Parfois le moyen le plus sûr de booster sa carrière et sa rémunération reste de se lancer dans l'aventure de l'entrepreneuriat. Mais là encore, mieux vaut se préparer avant de se jeter dans le bain. 

Certaines formations proposent des modules propres aux entrepreneurs. Des formations qui permettent d'acquérir des compétences indispensables telles que des notions de gestion, trésorerie, droit ou même négociation. En bref de quoi vous permettre de franchir le pas et lancer votre activité sereinement, sans idéalisme. Attention toutefois, certaines compétences comme le sens des affaires, ne s'acquiert pas simplement au cours d'une formation.

Se former au prochain gros projet de l'entreprise
Une carrière peut parfois se construire au hasard des opportunités qui s'offrent à vous. Les plus habiles en la matière sont ceux qui savent anticiper les tendances et préempter un domaine de compétences. La vie en entreprise n'échappe pas à la règle.
Si vous avez envie de donner un nouvel élan à votre carrière, vous devez rester à l'écoute des projets qui sont en développement et vous positionner pour en prendre la direction. Si vous n'avez pas forcément toutes les compétences requises, vous pouvez décider avec votre employeur de vous y former pour éventuellement partager ensuite vos connaissances avec le reste de l'entreprise.

Penser à l'industrie du loisir et du tourisme
Avec près de 80 millions de visiteurs annuels, la France est la première destination touristique au monde. C'est donc peu dire que le secteur du loisir reste porteur, quand bien même la crise en a freiné le développement. Hôtellerie, restauration, agences de voyages ou parcs d'attraction continuent à recruter à tour de bras.
Ces organisations n'hésitent pas à recourir à des profils aussi riches que variés. Elles peuvent donc être un point de chute intéressant pour celui qui désire donner un autre élan à sa carrière. Les chefs de produits, les business developpers et les financiers pourront donc profiter d'une formation pour s'initier aux arcanes du tourisme et ainsi prétendre à ces postes hautement rémunérateurs.

Se doter d'une solide culture personnelle
Evoluer au sein d'une entreprise implique aussi de faire bonne impression et développer ses réseaux. En bref, il s'agit de se faire remarquer. Pour cela, il est possible d'être le centre de toutes les attentions lors des pauses café ou déjeuner en étant capable de donner son avis sur tous les sujets, de partager les dernières tendances. Briller en entreprise c'est aussi briller lors des moments les plus informels. En ce sens, être doté d'une culture générale solide est un gage de réussite.
De nombreux organismes dispensent des formations permettant de s'initier aux secrets du cinéma asiatique ou à l'histoire de la peinture. Bien évidemment, tout cela reste soumis à l'accord de votre supérieur qu'il faudra savoir convaincre.

Se convertir à la restructuration de dette
La crise financière étant passée par là, les brokers et leurs spéculations effrénées sont rentrés dans le rang au profit d'un nouveau profil, les restructurateurs de dettes. En effet, la récession économique a contribué à la raréfaction des crédits aux entreprises dont bon nombre se sont alors retrouvées dans l'incapacité de tenir leurs engagements financiers. Cette filière de restructuration du passif de l'entreprise, en renégociant notamment les conditions de remboursement auprès des différents créanciers, va avoir le vent en poupe d'ici un ou deux ans.
Pour ne pas rater le wagon, vous devez donc dès à présent améliorer vos capacités de négociateur mais aussi votre maîtrise des arcanes de la finance d'entreprise. Formations en négociation commerciale et gestion d'entreprise doivent au plus tôt figurer à votre agenda.

Mieux piloter votre informatique
L'informatisation croissante des entreprises et de leurs outils de productions rendent les directions du système d'information toujours plus importantes. Mais tous les responsables de l'entreprise ont intérêt à se mettre à niveau pour bénéficier des innovations technologiques. Trouver des solutions informatiques aux besoins stratégiques de l'entreprise est donc au cœur des préoccupations de ces profils qui peuvent prétendre à des rémunérations extrêmement intéressantes.
Cloud computing, green IT ou virtualisation de process sont autant de domaines de compétences que vous aurez intérêt à maitriser avant de les mettre en place au sein de votre entreprise. La formation devra vous permettre non seulement d'accroitre vos connaissances mais aussi améliorer votre capacité à communiquer sur ces problématiques.

Apprendre à optimiser un chiffre d'affaires
La capacité à développer ses prévisions avec précision et celle consistant à établir sa stratégie tarifaire sont autant de compétences qui sont enseignées dans le cadre de formations à la gestion du revenu. 
Autrefois apanage des compagnies aériennes, la fonction de yield manager est en plein essor dans d'autres secteurs. Dans l'hôtellerie par exemple, il s'agit de conjuguer les taux de fréquentation avec le prix des chambres pour bâtir un plan d'action d'optimisation du chiffre d'affaires. De plus en plus de profils marketing mais aussi financiers se tournent donc vers ces métiers qui embauchent avec constance et garantissent une belle évolution de carrière professionnelle.

source internaute

10 moyens d'obtenir une formation gratuite

Pour acquérir de nouvelles compétences ou se reconvertir, les salariés ont tout intérêt à se former tout au long de leur carrièreprofessionnelle. Pourtant, les difficultés sont multiples : manque de temps, craintes du changement et surtout frais importants.
Car retourner en classe peut coûter cher. Entre le prix de la formation et le manque à gagner dusalaire non-perçu, l'addition peut être salée. Pourtant, que l'on soit salarié du privé, en CDI ou en CDDdemandeur d'emploifonctionnaire ou même indépendant, des dispositifs existent. Selon les cas, ils peuvent financer des formations, indemniser les formés voire même leur garantir leur salaire.
Revue de détails des différents moyens pour se former gratuitement.

Le Dif : se former en continu
Pour qui ? Le droit individuel à la formation (Dif) est destiné à l'ensemble des salariés en CDI. Pour en bénéficier, un an d'ancienneté dans l'entreprise est cependant nécessaire. Les personnes en CDD doivent avoir accumulé 4 mois de contrats au cours des 12 derniers mois.
Pour quoi ? D'innombrables formations sont éligibles au Dif : techniques, généralistes, managériales... Mais l'employeur doit donner son accord au salarié pour que celui-ci puisse utiliser son Dif pour suivre cette formation en particulier. 
Quels droits ? Le Dif  donne droit à 20 heures de formation minimum par année à temps plein. Ces heures peuvent se cumuler pendant 6 ans et jusqu'à 120 heures maximum.

Le Cif : se former sur la longueur
Pour qui ? Tous les salariés en CDI ayant 12 mois d'ancienneté dans leur entreprise et ayant déjà travaillé 24 mois depuis leurs débuts professionnels, peuvent demander à bénéficier d'un congé individuel de formation (Cif). 
Pour quoi ? Le Cif permet de se former pendant un an à plein temps. Dédié aux formations longues, il permet d'acquérir un nouveau diplôme, voire de se réorienter. C'est le Fond de gestion du Cif (Fongecif) de la région ou l'organisme paritaire collecteur agréé (OPCA) de la branche qui sélectionne les dossiers qui bénéficieront de son soutien financier. Ils déterminent librement les critères à appliquer dans ce choix.
Quels droits ? Le Fongecif ou l'OPCA sont susceptibles de prendre en charge la rémunération du salarié (80 ou 90% du salaire habituel), le coût de la formation, les frais de transports et d'hébergement.

Le plan de formation : se former pour son entreprise
Pour qui ? Tous les salariés peuvent être concernés par le plan de formation de leur  entreprise. Celui-ci regroupe l'ensemble des actions de formations initiées par l'employeur.
Pour quoi ? C'est l'employeur qui a l'entière responsabilité du plan de formation. C'est donc lui qui définit librement les thèmes et les modalités du plan de formation pour favoriser l'adaptation du salarié à son poste, le développement de ses compétences ou l'évolution de son métier.
Quels droits ? Suivre une formation dans le cadre d'un plan de formation est assimilé à l'exécution normale du contrat de travail. Non seulement, l'employeur finance entièrement la formation mais le salarié perçoit toujours sa rémunération.

La période de professionnalisation : pour se remettre à niveau
Pour qui ? Les périodes de professionnalisation sont destinées aux salariés présents dans l'entreprise depuis plus d'un an dans le but de les maintenir dans l'emploi. Cependant, elles ciblent au premier chef certains publics, en particulier les salariés de plus de 45 ans travaillant depuis plus de 20 ans. Elle est mise en ?uvre à l'initiative du salarié ou de l'employeur.
Pour quoi ? L'objectif est de permettre au salarié d'obtenir une qualification correspondant aux besoins de l'économie à court et moyen terme. Cette période mixe des enseignements théoriques à la pratique dans l'entreprise.
Quels droits ? Le salarié bénéficiant de formation sur son temps de travail voit sa rémunération maintenue. Dans l'hypothèse où elles se déroulent en dehors du temps de travail, ces heures de formation sont payées au moins 50% de la rémunération de référence du salarié.

Le contrat de professionnalisation : se former en alternance
Pour qui ? Utilisable par les jeunes de 16 à 25 ans, le contrat de professionnalisation est aussi ouvert aux demandeurs d'emploi de plus de 26 ans.
Pour quoi ? L'idée est de favoriser l'insertion professionnelle grâce à l'alternance. Le contrat de professionnalisation est conclu entre le salarié et un employeur. La formation représente de 15% à 25% de la durée du contrat, qui en général s'étale de 6 à 12 mois.
Quels droits ? Les demandeurs d'emploi de plus de 26 ans perçoivent un salaire au moins égale au smic et à 85% du minimum conventionnel. La rémunération des jeunes de moins de 26 ans dépend de leur âge. Le financement du contrat est assuré par l'employeur.

Le financement par Pôle emploi : se former pour trouver un emploi
Pour qui ? Gérés par Pôle emploi, plusieurs dispositifs sont destinés aux chômeurs indemnisés ou en fin de droits. Selon sa situation, le demandeur d'emploi peut accéder à l'un ou l'autre de ces programmes.
Pour quoi ? La formation soutenue par Pôle emploi doit s'inscrire dans le projet personnalisé d'accès à l'emploi (PPAE). Il faut donc que la formation s'intègre dans le parcours du demandeur d'emploi dans le but de retrouver un travail.
Quels droits ? Les formations des demandeurs d'emploi sont financées par Pôle emploi. Les demandeurs d'emploi indemnisés par l'aide au retour à l'emploi conservent leurs allocations. Les autres peuvent percevoir la rémunération formation de Pôle emploi (RFPE).

Les aides du conseil régional : se former près de chez soi
Pour qui ? Les salariés comme les demandeurs d'emploi peuvent obtenir une aide pour le financement de leur formation de la part de leur conseil régional. Cependant, les publics concernés peuvent varier selon les régions.
Pour quoi ? Chèques formation, chèque deuxièmes chance... Les modalités pour obtenir une aide de son conseil régional sont définies dans chacune des régions. C'est en effet à cet échelon que se définit la politique en matière de formation professionnelle.
Quels droits ? La encore, chaque région est libre de créer se propres modalités d'aides. Il faut donc vous renseigner auprès de votre conseil régional pour savoir à quel type de soutien vous avez le droit.

Les aides pour les non-salariés : se former quand on est patron
Pour qui ? Les indépendants, les libéraux, les commerçant, les artisans ou encore les chefs d'entreprise ont eux aussi des dispositifs qui leur permettent de se faire financer des formations.
Pour quoi ? Les actions de formations des non-salariés sont financées par leur organisme paritaire collecteur agréé (OPCA). Les règles sont donc défini par ces organismes, qui sont différents pour les libéraux, les médecins, les chefs d'entreprise ou encore les agriculteurs.
Quels droits ? En plus des aides fournies par l'OPCA de la profession concernée, les non-salariés peuvent faire bénéficier dans certains cas leur entreprise d'un crédit d'impôt.

Le congé de formation professionnelle : se former quand on est fonctionnaire
Pour qui ? Le congé de formation professionnelle est destiné aux agents de la fonction publique. Les titulaires comme les non-titulaires des fonctions publiques d'Etat, territoriale et hospitalière peuvent en bénéficier. Ils doivent avoir effectué 3 ans de services effectifs pour y prétendre.
Pour quoi ? Un agent peut prendre un congé qui dure jusqu'à trois ans sur l'ensemble de sa carrière. Il peut être utilisé d'un bloc ou bien être fractionné. Il peut être utilisé pour effectuer des stages de formation ou bien se préparer aux concours administratifs.
Quels droits ? Les 12 premiers mois les titulaires conservent une rémunération équivalente à 85% de leur traitement mensuel.

Le Cif CDD : se former même quand on est précaire
Pour qui ? Ce dispositif est réservé aux salariés en CDD ou aux demandeurs d'emploi ayant travaillé en CDD. Le candidat doit avoir occupé un emploi pendant 24 mois au cours des 5 dernières années, dont 4 mois en CDD au cours des 12 derniers mois.
Pour quoi ? Le Cif CDD permet une formation longue, ce qui permet aux stagiaires de se reconvertir ou d'acquérir un diplôme. Le dossier doit être validé par le Fongecif, mais les chances d'obtenir cette aide sont plus importantes que dans le cadre du Cif CDI.
Quels droits ? Le Cif CDD peut financer la formation mais aussi rémunérer le stagiaire. La rémunération est calculée en fonction du salaire perçu au cours des 4 derniers mois en CDD.